La cage de chasteté de mon amant

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il y a 4 ans
Le petit roquet dominateur c’est moi, lui, il est grand, costaud et soumis, le profil de la f o r c e tranquille. J’aime le dominer, lui imposer des tas de trucs plus ou moins crades ou humiliants à mon amant. « Qui aime bien châtie bien », cette expression me colle à la peau et comme je l’aime comme un fou, autant dire que je lui en fais baver.

J’ai pris possession de sa bite, il ne peux plus se branler, à peine bander dans sa cage de chasteté. Savoir sa bite compressée le matin dans son tube de métal m’excite, savoir qu’il est obligé de s’asseoir comme une gonzesse pour pisser aussi.

Quand il vient le week-end, je le dévore de la bouche quand il arrive. Quand on s’embrasse, la chaleur de ses lèvres me comble de bonheur, m’apaise, me rend dingue, alors je lui caresse l’entrejambe en lui disant des tas de méchanceté.

« Comment va ta nouille, toujours aussi sage ? Puisqu’elle ne sert plus à rien, je vais te prêter la mienne, tu peux l’embrasser avec amour avant de la sucer ! A genoux chien, oui dans l’entrée là, tu iras pisser que quand tu auras bien présenté tes hommages à ma bite et à mon cul ». Voilà un exemple de ce que j’aime lui faire, quand je fais dans le soft lorsqu’il arrive.

Cela fait trois semaines qu’il est en mission à l’étranger, et là, je craque, je suis en manque de lui, en manque de domination, en manque de nos corps à corps, de ces moments de chaleur partagée sous la couette, quand on est collé l’un contre l’autre.

Comme il partait loin et avec plusieurs avions, je lui ai retiré sa cage de chasteté pour qu’il ne soit pas ennuyé. Et hier j’ai craqué. Sa bon45 de chez ABCplaisir était sur mon bureau, je la regardais avec nostalgie, en fait, il était un peu là grâce à elle. Je l’ai attrapée, étudiée comme si je ne la connaissais pas et, dans ma crise d’affection je l’ai embrassée. C’est dire si j’étais mal et en manque de lui.

Dans ma main, sa cage de chasteté me faisait comme de l’oeil. Il m’est venu l’idée folle de la mettre pour avoir Paul dans mon slip, pour qu’il me tienne compagnie même s’il est loin. Un Maître avec une cage de chasteté, c’est illogique, je sais, mais c’est moi qui avait les clés, alors pourquoi ne pas l’essayer, la porter un peu ?

Après l’avoir mise, je me suis senti mieux. Pourquoi ? Je n’en sais rien. Sur l’ordinateur était encore affiché son dernier message, il me disait que je lui manquais, puis me racontait des trucs sur son travail, me parlait des paysages époustouflant de l’Arizona. L’imaginer quand il est à son bureau en France, avec sa bite dans la cage en face de sa secrétaire m’a excité. Quand ma bite a commencé à gonfler, j’ai touché du gland le premier effet « cage de chasteté ». Cela a encore augmenté mon manque de lui. Il était tard, je suis donc allé me coucher, en gardant Paul avec moi dans mon slip.

Pendant la nuit, j’ai fait des rêves érotiques de folie, à m’en arracher les couilles tant mon sexe tirait sur la cage de chasteté. Alors comme lui, je me suis levé pour aller pisser. J’en ai mis partout, j’ai du nettoyer et m’asseoir pour finir de vider ma vessie. J’aurai très bien pu la retirer puisque j’ai les clés, mais non, j’ai tenu à le garder avec moi. Le matin, j’étais comme un chien fou. Mes poils se redressaient, ma peau était bien plus sensible que d’habitude, les draps me semblaient plus doux. Le premier café avalé, je suis allé me doucher avec Paul avant de déjeuner. C’est là que j’ai eu l’idée d’aller travailler avec sa cage de chasteté. L’amour ça rend fou !

Toute la journée, Paul s’est rappelé à moi. Quand je m’asseyais, quand je marchais, quand je suis allé aux toilettes et même pendant la réunion je pensais à lui. Je me suis maudis de ne pas avoir pris les clés, pour retirer sa cage de chasteté. En fin d’après-midi, alors que je travaillais sur un dossier indigeste, de drôles d’idées me sont passées par la tête. Je me suis vu soumis à mon soumis. Je me suis vu lui donner les clés de sa cage de chasteté, en lui disant que j’étais tout à lui un week-end entier. Je me voyais en m’entendant lui dire « venges-toi de toutes les saloperies que je t’ai faites ». Comme il est auto reverse, il me baisait sauvagement, je planais du cul sans pouvoir me toucher la bite. Quand ma secrétaire est entrée dans mon bureau, elle m’a demandé si j’allais bien. Dur retour sur terre !

En arrivant à la maison, j’avais décidé de retirer sa cage de chasteté. Et puis je n’ai pas pu. Psychologiquement, j’avais l’impression de me séparer de Paul. Alors je l’ai gardé et je suis allé prendre ma douche avec lui. L’amour ça rend fou !

Paul a pu m’appeler, je ne lui ai pas parlé de tout ça, un Maître ne fait pas ce type de confidences à son soumis. Pendant qu’on discutait, j’ai pris conscience que je frottais mes fesses et sa cage de chasteté sur ma chaise de bureau. Je devenais chienne en chaleur rien qu’en entendant sa voix.

Quand on a raccroché, j’ai du retourner prendre une douche ! De retour à l’ordinateur, j’ai été pris de remords. Paul me dit tout sans aucune pudeur et avec une franchise totale et moi, je faisais quoi ? Je lui cachais des choses. Dans ma crise d’affection animée par le manque de lui, j’ai ouvert ma messagerie et je lui ai tout raconté dans un long message. Il m’a répondu « je t’aime, tu me manques aussi terriblement et je comprends tout ce que tu viens de me dire ».

Son message a embrasé ma libido, je n’en pouvais plus ! Ma queue repoussait les limites de la résistance de la cage de chasteté et m’arrachait les couilles. Devant mes yeux défilaient des images de Paul. Il me disait « tu peux pas te branler, il faudra les mériter » en faisant balancer les clés de sa cage de chasteté, sous mes yeux. Et là, je me suis vu à genoux devant lui en train de lécher ses couilles avant de lustrer sa belle bite que j’adore.

L’amour ça rend fou et sous cage de chasteté c’est encore pire ! Sans réfléchir, j’ai sauté sur le clavier pour lui écrire que je m’offrais à lui en soumis tout le week-end. Le téléphone a sonné dans la minute qui a suivi. Il voulait savoir si j’allais bien ! ! !

Une fois rassuré, il m’a demandé si j’étais vraiment sérieux et si, c’était un cadeau que je lui faisais. Je n’avais pas pensé à être un cadeau. C’était juste un moment où je déraisonnais, mais je ne lui ai pas dit car il avait l’air trop heureux que je m’offre à lui. Paul m’a dit au moins une douzaine de fois qu’il m’aimait, dans cette conversation qui n’a pourtant pas duré très longtemps. Quand je suis allé me coucher, j’étais dans un état second. Le cadeau était dans un état second. Le Maître ne serait plus Maître ce week-end. J’ai très mal dormi.

Le lendemain, il me confirmait par texto son heure d’arrivée à l’aéroport. Il a juste ajouté « avec les clés » puis « je t’aime et un gros pour ce magnifique cadeau, je ne pense plus qu’à toi, depuis ton message d’hier ». Je ne pouvais plus reculer ! Je m’étais piégé tout seul. Ne pas le faire, c’était prendre le risque de le décevoir.

A 21 heures, j’étais à l’aéroport, les escaliers mécaniques vomissaient des centaines de voyageurs, et Paul n’arrivait pas. Mon coeur battait la chamade et puis soudain je l’ai vu. Quand il s’est approché de moi, je l’ai embrassé devant tout le monde sans penser que l’on nous regardait. Ce n’était pas un petit baiser discret sur la bouche, c’était un « géant bisou d’Amour » comme un couple qui s'aime. N’étant pas porté sur l’exhibition, il était un peu gêné et m’a repoussé, c’est là que j’ai pris conscience que pour la première fois, j’avais oublié la discrétion à laquelle il tient tant pour raisons professionnelles.

Après avoir récupéré ses bagages, il m’a demandé les clés de sa cage de chasteté. Comme ça en plein aéroport, cela m’a fait tout drôle. Sur l’autoroute cet enfoiré a posé sa main entre mes cuisses, me concentrer sur la conduite a été difficile. Lorsque nous sommes arrivés à la maison, après avoir posé les bagages, la porte à peine fermée il m’a soulevé et plaqué contre le mur. Je me suis fait dévorer la bouche, lui aussi avait un gros retard de câlins. Nos langues s’enroulaient comme des serpents, nous fusionnions comme des tourtereaux quand il a décidé de changer les rôles, à sa façon, changer la donne. Sa main posée sur mon épaule il m’a poussé vers le bas avant de croises les bras.

  • Tu sais comment tu aimes que je t’accueille, et comme j’ai eu un bon « maître », dans le sens apprentissage de la domination, il te reste à mettre en pratique tes cours ! M’a dit Paul.

Il ne m’a pas aidé à ouvrir son pantalon et à le baisser. Son boxer débordait d’amour, et quand je l’ai fait glisser sur ses cuisses, sa belle bite majestueuse me regardait droit dans les yeux. Lui aussi était en manque. Elle était couche, douce, dure, un vrai délice que la prendre en bouche. Je fusionnais avec son chibre, quand il m’a arrêté en me disant qu’il fallait attendre un peu, pour avoir le droit de boire. « Boire », je n’avais pas pensé à ça....

Paul a voulu que je me mette nu, et pour la première fois j’ai été gêné. Pas par ma nudité, mais par le fait qu’il voyait mon sexe dans sa cage de chasteté. Il m’a tiré vers le canapé et couché sur ses genoux. Je me suis dit qu’il n’allais pas oser ! Et bien si ! Je me suis fait engueuler pour mon manque de discrétion à l’aéroport, avant que la première claque ne s’abatte sur mes fesses. Mon soumis me donnait une fessée ! Impensable. J’ai voulu mettre la main pour l’arrêter, il l’a bloquée et a continué de claquer mes fesses en me disant que je m’étais offert à lui pour le week-end, et qu’il était trop tard pour revenir en arrière.

Paul m’a cassé le cul avec sa main de bûcheron ! Ma tête tournait quand il s’est arrêté, mon fessier était tellement en feu, que je me suis même étonné que l’alarme à incendie ne sonne pas. Il a soulevé le petit roquet pour le coucher directement sur la table en remontant ses jambes pour pouvoir lui bouffer le cul qu’il allait posséder. Etre ainsi bousculé ne m’était jamais arrivé, je n’avais pas peur de lui, c’est un ange, mais j’étais un peu perdu. Il m’a ensuite sauté en me faisant voir ses canines de sauvage. Sur la table je n’étais plus qu’un pantin de chair. La cage de chasteté se balançait au rythme des coups de butoir sauvage.

Ce n’était pas la première fois qu’il me prenait, nous faisons l’amour dans les deux sens, mais là, c’était différent. J’étais sa chose pour le week-end et il me le faisait bien sentir. Il s’est retiré d’un seul coup et m’a attrapé fermement pour me mettre à genoux devant lui. J’étais tellement sonné par tout ça, que j’ai attrapé sa queue pour le boire sans même penser que cela pouvait être sale. J’ai su après qu’il voulait juste me gicler à la gueule, mais qu’il avait bien apprécié « mon dévouement ».

Une pizza surgelée et douche plus tard, nous nous sommes couchés. J’ai retrouvé la douce chaleur qui m’avait manqué. Et mon sadique d’amour s’est enroulé contre mon dos, avant de plaquer sa main sur ma /sa cage de chasteté. Il m’a murmuré qu’elle m’allait très bien et qu’il voulait des croissants chauds le lendemain.

Vous savez pas ce qu’il m’a fait ce gros rustre le lendemain ?

---- Il a voulu que je lui fasse sa petite gâterie du matin pendant qu’il trempait son croissant dans le café.

------ Il m’a ensuite jeté des morceaux de croissant par terre en me disant « va chercher » !

----------- Il m’a ensuite fait l’amour avec tendresse.

------------------ Il m’a libéré de ma /sa cage que le dimanche soir.

Et là vous savez ce que j’ai fait ? Non ?

Je lui ai remis sa cage et il n’est pas prêt de voir son gland, enfin, je dis ça.....

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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